Danse : Différence entre versions

De Le Parergon
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* ''Spinorama'' (2021- ), a commencé dans le contexte de ce que j'appelle le mouvement imbriqué, pour un danseur et équipement de pratique astronautique ou cerceau.
 
* ''Spinorama'' (2021- ), a commencé dans le contexte de ce que j'appelle le mouvement imbriqué, pour un danseur et équipement de pratique astronautique ou cerceau.
 
* Dans ''Structures'' (2021- ), en travaillant avec des structures métalliques, mon objectif a été de souligner que la structure du support, dans sa relation avec le corps humain, fonctionne chorégraphiquement comme une grille pour les gestes des danseurs. Je le fais pour améliorer le jeu de mouvement et les possibilités de mouvement du corps dans la danse, les gestes chorégraphiques et la cinématique du corps.  
 
* Dans ''Structures'' (2021- ), en travaillant avec des structures métalliques, mon objectif a été de souligner que la structure du support, dans sa relation avec le corps humain, fonctionne chorégraphiquement comme une grille pour les gestes des danseurs. Je le fais pour améliorer le jeu de mouvement et les possibilités de mouvement du corps dans la danse, les gestes chorégraphiques et la cinématique du corps.  
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* ''Échauffements''.
 
* [[Entraînements|''Entraînements'']].
 
* [[Entraînements|''Entraînements'']].
 
* ''Translations''
 
* ''Translations''

Version du 14 juin 2022 à 09:39

La danse, telle que je la pratique, est faite de mouvements volontaires, mais aussi de gestes volontairement involontaires. Ma pratique chorégraphique, que je pourrais qualifier de métachorégraphique, aborde la question de la notation du mouvement. Cette question me fascine depuis que j'ai pris conscience des immenses possibilités qu'elle offre au chorégraphe, notamment sur le plan de la codification, des règles et des principes de la métamorphose cinétique.

Contexte

Ma pratique chorégraphique passe nécessairement par l'expérimentation des conventions. Ce traitement est important pour moi, c'est l'approche qui me permet de questionner, avec des prétentions didactiques, les restrictions d'un certain genre, de fournir un point de vue, ou même de trahir ce genre. Mon travail implique également la question de l'espace. L'espace chorégraphique, vu comme un espace avec des coordonnées est une zone, un plan, un volume qui se dessine, se mesure et est rempli par les mouvements des corps à chorégraphier. La position des corps dans l'espace est toujours un enchaînement qui est une interpolation.

Mes principales créations sont les suivantes :

  • Alphabet (début des années 2000) : deux par deux, les danseurs dansent l'alphabet sur les marches d'un escalier en tenue de gala.
  • Aspertion (2007) : improvisation en temps réel (comme dans la post-modern dance), performée devant le critique d'art Bernard Lamarche et plusieurs artistes.
  • Grand saut (vers 2008) : lors d'une soirée de performances à Montréal.
  • Permutation circulaire (2021), solo (au Local de musique).
  • Spinorama (2021- ), a commencé dans le contexte de ce que j'appelle le mouvement imbriqué, pour un danseur et équipement de pratique astronautique ou cerceau.
  • Dans Structures (2021- ), en travaillant avec des structures métalliques, mon objectif a été de souligner que la structure du support, dans sa relation avec le corps humain, fonctionne chorégraphiquement comme une grille pour les gestes des danseurs. Je le fais pour améliorer le jeu de mouvement et les possibilités de mouvement du corps dans la danse, les gestes chorégraphiques et la cinématique du corps.
  • Échauffements.
  • Entraînements.
  • Translations
  • Suspensions : la mécanique de chaque structure métallique agit de concert avec les microstructures de la chorégraphie pour donner des possibilités et des processus corporels et esthétiques qui contraignent, façonnent les mouvements des danseurs. La complexité structurelle de cette danse conditionnée par les structures métallique et la représentation dans un lieu non conventionnel.
  • Actions concertées : gestes similaires à ceux effectués dans les activités motrices ordinaires. Travail d'équipe.
  • Arabesques : le décoratif, l'ornementation.
  • Extensions.
  • Glissades (2022) : la conquête de l'espace de jeu du quotidien.
  • Faux pas : [?].

Cadre artistique

  • Maurice Béjart
  • Gloria Contreras
  • Marie Chouinard
  • Merce Cunningham
  • Xavier Le Roy : associé au mouvement de la non-danse.

Références théoriques

  • Rudolf Laban
  • Rudolf Benesh
  • Joan Rothwell

Problématique

Le processus chorégraphique (geste, écriture, répétitions, projection, réalisation et réflexion) n'est pas sans rapport avec les questions de permutation et de combinaison (au sens mathématique de ces termes), ou avec la théorie des probabilités (sujet du dénombrable et de l'indénombrable, du combinatoire et du diatomique, du combinatoire et de l'atomique).

L'ornementation et l'effet sont les points de départ du processus chorégraphique, mais ils ne sont jamais purement décoratifs. Ils doivent être la codification d'un mouvement, d'un sens, d'une pensée. C'est ce que je cherche encore et ce que je continuerai à chercher.

Approche

La métadanse, c'est la danse mise en abyme. L'acte chorégraphique chorégraphié. Mon approche est une formalisation de cette mise en abyme...

La décomposition photographique du mouvement. La traduction du geste.

Le rapport au lieu, mur de brique, parc, équipements de mise en forme (Entraînements, Mises en forme).