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Musicien (batteur, compositeur de jazz et de musique expérimentale), plasticien (artiste conceptuel), écrivain, dramaturge, et chorégraphe.
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Cette signature est est-elle triplement symbolique, ou même triplement technique ?
  
== Autobiographie ==
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Dès qu’elle cherche à renvoyer à une pratique des arts qui se concentre sur l'économie des médiations artistiques _ Internes et externes _ des intermédiaires techniques et culturels, elle est médiologique.<ref>Période rimouskoise : très jeune je suis exposé à la musique et au théâtre liturgiques à l’église. Je commence à jouer de la batterie à l'âge de trois ans, comme on le voit sur cette photo de famille, où je me donne en spectacle sur une batterie de casseroles. Au début des années 2000, j’étudie la musique dans les Cadets. Très vite, en composition, je flirte avec l'atonalité (''Étude de dissonance mélodique'' pour piano), la modalité et la musique computationnelle, tandis que je découvre la musique de Béla Bartok, de Miles Davis, de Keith Jarrett, de György Ligeti et de Iannis Xenakis. La relation entre la musique et les [[affects]]. Les linéaments d'une critique sociale. Premières ''Superpositions'' (superposition de parties musicales étrangères les unes aux autres), ''Juxtaposition''. J'ai suivi le programme de maîtrise en études et pratiques des arts à l'UQAM de 2011 à 2015, rédigeant ma thèse sur le passage de la médiatisation de l'œuvre d'art à l'œuvre d'art comme médiatisation dans une pratique artistique contemporaine. Après mes études de jazz, j'ai participé à des sessions d'improvisation libre à la [[Casa Obscura]], notamment avec [[Alex Bellegarde]], et avec le Centre alternatif d'improvisation musicale (CAIM), dont j'étais membre. Le CAIM est dirigé par un ancien élève du compositeur Gilles Tremblay. À la fin des années 2010, je dirige un groupe de jazz, qui interprète des standards et quelques-unes des compositions. Des exemples de nos interprétations sont disponibles sur des enregistrements inédits, tirées de mon [[Catalogue de jazz]]. La même année, mon album [?] est publié par This Field Is Required, Ottawa-Gatineau. Mes œuvres explorent les conditions de possibilité de leur propre existence et celles de leur insertion dans leur milieu respectif au sein des arts contemporains. Ainsi, je m'intéresse aux conditions de production et de réception de l’art. En tant que chorégraphe, j'ai élaboré une technique qui conduit à la « danse pure » et à la « danse dure ».</ref>
Né en 1988 à Rimouski, je vis et travaille à Ottawa-Gatineau.
 
=== Enfance ===
 
Je suis le fils d'un pasteur et d'une designer d'intérieur.
 
  
Très jeune, j'ai été exposé à la musique sacré, à l'église et, à l'âge de trois ans, j'ai commencé à jouer de la batterie. Je me suis d'abord exercé sur des casseroles avec des ustensiles de cuisine (sur une photo de famille, on me voit d'ailleurs donner un « spectacle » de Noël sur des casseroles), puis sur une batterie pour enfant.
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== Œuvres (sélection) ==
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=== Musique ===
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* ''Matériaux et outils''
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* ''[[Catalogue de jazz]]''
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* ''Préludes''
  
=== Adolescence ===
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=== Arts visuels ===
Au début des années 2000, je rejoins les cadets de l'armée, où je perfectionne mes rudiments.
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* ''[[Installations et désinstallations]]''
  
Très vite, dès mes premières compositions des années 2000, je flirte avec l'atonalité (''Dissonance mélodique'' pour piano'').
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=== Littérature ===
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* ''Ingrédients''
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* ''Modes d'emploi''
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* ''Formes géométriques''
  
Vers l'âge de 15 ans, je découvre la musique de Béla Bartok, Miles Davis, Keith Jarrett, György Ligeti et Iannis Xenakis.
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=== Théâtre ===
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* ''Changements de décors''
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* ''Didascalies''
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* ''Actions''
  
=== Études ===
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== Notes ==
Je fais de l'art conceptuel depuis que j'étudies les arts (voir le lien entre étude et pratique). J'ai suivi le programme de maîtrise en études et pratiques des arts à l'UQAM de 2011 à 2015, rédigeant ma thèse sur la transition de la médiatisation de l'œuvre d'art à l'œuvre d'art comme médiatisation dans une pratique de photographie et d'art d'installation (incluant la musique).
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<references />
  
=== Vie active ===
 
Après mes études de jazz, je participe à des sessions d'improvisation libre à la [[Casa Obscura]], notamment avec [[Alex Bellegarde]] et au [[CAIM]].
 
 
À la fin des années 2010, je dirige un groupe de jazz appelé [?], qui interprète mes compositions<ref>Des exemples de nos interprétations sont disponibles sur des enregistrements inédits.</ref>. La même année, mon album [?] est publié par This Field Is Required, Ottawa-Gatineau.
 
 
Poussé par nécessité esthétique à devenir danseur, j'intègre la compagnie de [?] en [?], où je me suis produit comme soliste jusqu'en [?] et y crée des rôles majeurs, notamment dans [?] (20[?]) et ''Sans titre'' (date inconnue). Je poursuis une recherche indépendante, et participe, dès 2022, aux spectacles du « Collège » avec un solo, ''Combinatoire no 2'', sur une partition anonyme.
 
 
== Œuvre ==
 
Mes œuvres explorent les conditions de possibilité de leur propre existence et celles de leur insertion dans leur milieu respectif au sein des arts contemporains. Ainsi, je m'intéresse aux conditions de production et de réception de l’art. En tant que chorégraphe, j'ai élaboré une technique qui conduit à la « danse pure » et à la « danse dure ».
 
 
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Version actuelle datée du 16 mars 2024 à 11:19

Cette signature est est-elle triplement symbolique, ou même triplement technique ?

Dès qu’elle cherche à renvoyer à une pratique des arts qui se concentre sur l'économie des médiations artistiques _ Internes et externes _ des intermédiaires techniques et culturels, elle est médiologique.[1]

Œuvres (sélection)

Musique

Arts visuels

Littérature

  • Ingrédients
  • Modes d'emploi
  • Formes géométriques

Théâtre

  • Changements de décors
  • Didascalies
  • Actions

Notes

  1. Période rimouskoise : très jeune je suis exposé à la musique et au théâtre liturgiques à l’église. Je commence à jouer de la batterie à l'âge de trois ans, comme on le voit sur cette photo de famille, où je me donne en spectacle sur une batterie de casseroles. Au début des années 2000, j’étudie la musique dans les Cadets. Très vite, en composition, je flirte avec l'atonalité (Étude de dissonance mélodique pour piano), la modalité et la musique computationnelle, tandis que je découvre la musique de Béla Bartok, de Miles Davis, de Keith Jarrett, de György Ligeti et de Iannis Xenakis. La relation entre la musique et les affects. Les linéaments d'une critique sociale. Premières Superpositions (superposition de parties musicales étrangères les unes aux autres), Juxtaposition. J'ai suivi le programme de maîtrise en études et pratiques des arts à l'UQAM de 2011 à 2015, rédigeant ma thèse sur le passage de la médiatisation de l'œuvre d'art à l'œuvre d'art comme médiatisation dans une pratique artistique contemporaine. Après mes études de jazz, j'ai participé à des sessions d'improvisation libre à la Casa Obscura, notamment avec Alex Bellegarde, et avec le Centre alternatif d'improvisation musicale (CAIM), dont j'étais membre. Le CAIM est dirigé par un ancien élève du compositeur Gilles Tremblay. À la fin des années 2010, je dirige un groupe de jazz, qui interprète des standards et quelques-unes des compositions. Des exemples de nos interprétations sont disponibles sur des enregistrements inédits, tirées de mon Catalogue de jazz. La même année, mon album [?] est publié par This Field Is Required, Ottawa-Gatineau. Mes œuvres explorent les conditions de possibilité de leur propre existence et celles de leur insertion dans leur milieu respectif au sein des arts contemporains. Ainsi, je m'intéresse aux conditions de production et de réception de l’art. En tant que chorégraphe, j'ai élaboré une technique qui conduit à la « danse pure » et à la « danse dure ».