Pierre-Luc Verville : Différence entre versions

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La signature de mon travail d'artiste est est-elle triplement symbolique et technique ? Elle cherche à renvoyer à une pratique des arts qui se concentre sur l'économie des médiations artistiques _ Internes et externes _ des intermédiaires techniques et culturels.<ref> Rimouski, Trois-Rivières, Baie-Comeau, Montréal, Gatineau. Je suis le fils d'un père pasteur et d'une mère décoratrice. Très jeune j'ai été exposé à la musique, théâtre liturgiques, notamment à l’église, et à l’architecture intérieur. J'ai commencé à jouer de la batterie à l'âge de trois ans. Je me suis d'abord exercé sur des casseroles avec des ustensiles (voir aussi ''Matériaux et outils'', et ''Balayage'').Comme sur cette photo de famille où je donne un concert de Noël sur des casseroles, avec de petites baguettes en métal, en costume, puis sur une véritable batterie. Au début des années 2000, j'ai étudié la musique dans les Cadets. Très vite, dès mes premières compositions des années 2000, je flirte avec l'atonalité (''Dissonance mélodique'' pour piano), tandis que je découvre la musique de Béla Bartok, Miles Davis, Keith Jarrett, György Ligeti et Iannis Xenakis. La relation entre la musique et les [[affects]]. Les linéaments d'une critique sociale. Premières ''Superpositions'' (superposition de parties musicales étrangères les unes aux autres), ''Juxtaposition''. J'ai suivi le programme de maîtrise en études et pratiques des arts à l'UQAM de 2011 à 2015, rédigeant ma thèse sur le passage de la médiatisation de l'œuvre d'art à l'œuvre d'art comme médiatisation dans une pratique artistique contemporaine. Après mes études de jazz, j'ai participé à des sessions d'improvisation libre à la [[Casa Obscura]], notamment avec [[Alex Bellegarde]], et avec le Centre alternatif d'improvisation musicale (CAIM), dont j'étais membre. Le CAIM est dirigé par un ancien élève du compositeur Gilles Tremblay. À la fin des années 2010, je dirige un groupe de jazz, qui interprète des standards et quelques-unes des compositions. Des exemples de nos interprétations sont disponibles sur des enregistrements inédits, tirées de mon [[Catalogue de jazz]]. La même année, mon album [?] est publié par This Field Is Required, Ottawa-Gatineau. Mes œuvres explorent les conditions de possibilité de leur propre existence et celles de leur insertion dans leur milieu respectif au sein des arts contemporains. Ainsi, je m'intéresse aux conditions de production et de réception de l’art. En tant que chorégraphe, j'ai élaboré une technique qui conduit à la « danse pure » et à la « danse dure ».</ref>
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La signature est est-elle triplement symbolique et technique ? Dès qu’elle cherche à renvoyer à une pratique des arts qui se concentre sur l'économie des médiations artistiques _ Internes et externes _ des intermédiaires techniques et culturels, elle est médiologique<ref>Période rimouskoise : très jeune je suis exposé à la musique et au théâtre liturgiques à l’église. Je commence à jouer de la batterie à l'âge de trois ans, comme on le voit dans cette photo de famille où je me donne en spectacle sur une batterie de casseroles. Au début des années 2000, j’étudie la musique dans les Cadets. Très vite, en composition, je flirte avec l'atonalité (‘’Étude de dissonance mélodique'' pour piano), tandis que je découvre la musique de Béla Bartok, de Miles Davis, de Keith Jarrett, de György Ligeti et de Iannis Xenakis. La relation entre la musique et les [[affects]]. Les linéaments d'une critique sociale. Premières ''Superpositions'' (superposition de parties musicales étrangères les unes aux autres), ''Juxtaposition''. J'ai suivi le programme de maîtrise en études et pratiques des arts à l'UQAM de 2011 à 2015, rédigeant ma thèse sur le passage de la médiatisation de l'œuvre d'art à l'œuvre d'art comme médiatisation dans une pratique artistique contemporaine. Après mes études de jazz, j'ai participé à des sessions d'improvisation libre à la [[Casa Obscura]], notamment avec [[Alex Bellegarde]], et avec le Centre alternatif d'improvisation musicale (CAIM), dont j'étais membre. Le CAIM est dirigé par un ancien élève du compositeur Gilles Tremblay. À la fin des années 2010, je dirige un groupe de jazz, qui interprète des standards et quelques-unes des compositions. Des exemples de nos interprétations sont disponibles sur des enregistrements inédits, tirées de mon [[Catalogue de jazz]]. La même année, mon album [?] est publié par This Field Is Required, Ottawa-Gatineau. Mes œuvres explorent les conditions de possibilité de leur propre existence et celles de leur insertion dans leur milieu respectif au sein des arts contemporains. Ainsi, je m'intéresse aux conditions de production et de réception de l’art. En tant que chorégraphe, j'ai élaboré une technique qui conduit à la « danse pure » et à la « danse dure ».</ref>
  
 
== Œuvres (sélection) ==
 
== Œuvres (sélection) ==

Version du 2 mars 2024 à 05:34

La signature est est-elle triplement symbolique et technique ? Dès qu’elle cherche à renvoyer à une pratique des arts qui se concentre sur l'économie des médiations artistiques _ Internes et externes _ des intermédiaires techniques et culturels, elle est médiologique[1]

Œuvres (sélection)

Musique

Arts visuels

Littérature

  • Ingrédients
  • Modes d'emploi
  • Formes géométriques

Théâtre

  • Changements de décors
  • Didascalies
  • Actions

Notes

  1. Période rimouskoise : très jeune je suis exposé à la musique et au théâtre liturgiques à l’église. Je commence à jouer de la batterie à l'âge de trois ans, comme on le voit dans cette photo de famille où je me donne en spectacle sur une batterie de casseroles. Au début des années 2000, j’étudie la musique dans les Cadets. Très vite, en composition, je flirte avec l'atonalité (‘’Étude de dissonance mélodique pour piano), tandis que je découvre la musique de Béla Bartok, de Miles Davis, de Keith Jarrett, de György Ligeti et de Iannis Xenakis. La relation entre la musique et les affects. Les linéaments d'une critique sociale. Premières Superpositions (superposition de parties musicales étrangères les unes aux autres), Juxtaposition. J'ai suivi le programme de maîtrise en études et pratiques des arts à l'UQAM de 2011 à 2015, rédigeant ma thèse sur le passage de la médiatisation de l'œuvre d'art à l'œuvre d'art comme médiatisation dans une pratique artistique contemporaine. Après mes études de jazz, j'ai participé à des sessions d'improvisation libre à la Casa Obscura, notamment avec Alex Bellegarde, et avec le Centre alternatif d'improvisation musicale (CAIM), dont j'étais membre. Le CAIM est dirigé par un ancien élève du compositeur Gilles Tremblay. À la fin des années 2010, je dirige un groupe de jazz, qui interprète des standards et quelques-unes des compositions. Des exemples de nos interprétations sont disponibles sur des enregistrements inédits, tirées de mon Catalogue de jazz. La même année, mon album [?] est publié par This Field Is Required, Ottawa-Gatineau. Mes œuvres explorent les conditions de possibilité de leur propre existence et celles de leur insertion dans leur milieu respectif au sein des arts contemporains. Ainsi, je m'intéresse aux conditions de production et de réception de l’art. En tant que chorégraphe, j'ai élaboré une technique qui conduit à la « danse pure » et à la « danse dure ».