Ornement
L'ornement est important pour ma théorie de l'accessoire.
L'autrichien Aloïs Riegl s'est intéressé à la liberté ornementale dès 1893 dans Questions de styleErreur de référence : Balise fermante </ref>
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« Bergson me parle de mon "intellectualisme". Je lui dis qu’il ne faut pas confondre – que je suis un formel – et que le fait de procéder par les formes à partir des formes vers la "matière" des œuvres ou des idées donne l’impression d’intellectualisme par analogie avec la logique. Mais que ces formes sont intuitives dans l’origine – et je lui développe ma théorie de l’ornement – formation par la sensibilité de ce qui remplit le vide – selon des lois locales – générales (contrastes-symétries) »[1].
Références
- ↑ Paul VALÉRY, Cahiers, tome 1, Paris, Gallimard, p. 117.
Bibliographie
RIEGL, Aloïs. Questions de style : fondements d’une histoire de l’ornementation, coll. 35/37, Paris, Hazan, 2002.