Division

De Le Parergon
Révision datée du 13 juin 2022 à 18:13 par Pierrelucverville (discussion | contributions) (Page créée avec « Mon approche a certainement à voir avec l'autoréflexivité, qui a sans doute émergé de ce que Roland Barthes appelle le « goût de la division » : « les parcelle… »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Sauter à la navigation Sauter à la recherche

Mon approche a certainement à voir avec l'autoréflexivité, qui a sans doute émergé de ce que Roland Barthes appelle le « goût de la division » : « les parcelles, les miniatures, les cernes, les précisions brillantes (tel l'effet produit par le haschisch au dire de Baudelaire), la vue des champs, les fenêtres, le haïku, le trait, l'écriture, le fragment, la photographie, la scène à l'italienne, bref, au choix, tout l'articulé du sémanticien ou tout le matériel du fétichiste. Ce goût est décrété progressiste : l'art des classes ascendantes procède par encadrements (Brecht, Diderot, Eisenstein)[1]. »

  1. Roland BARTHES, Roland Barthes par Roland Barthes, Paris Seuil, coll. « Écrivains de toujours », 1975.